battre je battis; dire je dis;
rire je ris (редкая форма);
écrire j'écrivis; naître je naquis.
prendre je pris; faire je fis; conduire je conduisis
suivre je suivis;
apprendre j'appris; mettre:je mis;
nuire je nuisis (редкая форма);
poursuivre je poursuivis;
и глаголы s'asseoir: je m'assis; voir: je vis (все остальные глаголы, оканчи- вающиеся в инфинитиве на -oir, в Passé simple имеют окончание на -us).
//— Пассивная форма Le passé antérieur
Quand l'élève eut été reçu au baccalauréat, il s'inscrivit à la Sorbonne.
Образование: passé antérieur вспомогательного глагола ÊTRE + participe passé.
Глагол recevoir:
Quand j'eus été reçu(e)... Quand nous eûmes été reçu(e)s... Quand ils (elles) eurent été reçu(e)s...
ECOLIERS ET ÉTUDIANTS
«II y eut à toutes les époques des enfants qui, comme Hélène Vincent, apprirent à lire, à écrire, à compter; des jeunes gens qui, comme son frère, suivirent [1] des cours de lettres (f.) et de sciences (f.). — Autrefois, dans les écoles françaises, l'instruction ne fut-elle pas donnée en latin? — Oui. Longtemps aussi, elle fut donnée [1] dans des écoles religieuses, ou par des maîtres et des professeurs que les élèves payaient de la main à la main2. — II n'en est plus ainsi maintenant3? — Non, bien sûr! Quand un enseignement public et gratuiteut été créé par la République française à côté de l'enseignement privé, beaucoup de maîtres et de professeurs devinrentfonctionnaires (m.) (de l'État). Aujourd'hui, des millions d'enfants reçoivent, jusqu'à 14 ans, l'enseignement (m.) du Premier degré dans les écoles communales. C'est là qu'on leur enseigne les mystères (m.) de l'orthographe (f.)! — Et ensuite? — Ensuite, ils reçoivent l'enseignement du Second degré: durant sept années les élèves des lycées et des collèges préparent le baccalauréat de lettres, de sciences ou de techniques3. Après le «bac»4, on entre à l'Université. C'est alors l'enseignement supérieur, les amphithéâtres (m.), les laboratoires (m.). C'est la vie en commun, et, pour ceux qui ont de la chance, une chambre à deux, a la Cite Universitaire; on y rencontre, comme jadis au Moyen Age sur la vieille montagne Sainte-Geneviève, des étudiants de toutes les nations».
Примечания:
1. Le passé composé serait également possible.
2. Из рук в руки, т.е. ученики напрямую платили учителям.
3. Il n'en est plus ainsi: cela a changé.
4. Ou le bachot, abréviations populaires pour «baccalauréat»
УПРАЖНЕНИЯ
I) Передайте другими словами смысл следующих предложений: II y eut à toutes les époques des enfants qui apprirent à lire.— II y a un enseignement public. — II y a un enseignement privé. — Après le baccalauréat, on entre à l'Université.
II) Перепишите начало текста (до слов: ou par des maîtres et des professeurs...), заменяя глаголы в Passé simple соответствующими формами Passé composé.
III) Не меняя временной формы глаголов, преобразуйте предложения:
(а) в активную форму: L'instruction fut donnée par des maîtres. — Lorsqu'un enseignement public eut été créé par la République française...
(б) в пассивную форму: Les enfants suivent les cours de l'enseignement du premier degré. — Beaucoup d'élèves ont préparé le baccalauréat. — Les étudiants occupaient les gradins de l'amphithéâtre.
IV) Найдите в тексте глаголы 3-й группы и напишите их в 3-м лице ед. числа Présent, Imparfait, Passé simple, Passé composé и Futur de l'indicatif actifs.
V) Напишите те же глаголы (упр. IV) в 3-м лице ед. числа Présent, Imparfait, Passé simple, Passé composé и Futur de l'indicatif passifs. (Обратите внимание! Косвенно-переходные и непереходные глаголы не образуют пассивной формы.)
VI) Поставьте глаголы в скобках в нужные времена: Quand ils (apprendre) à lire et à écrire, ils changeront de classe. — Quand ils (recevoir) l'enseignement primaire, ils entreront au lycée.— Quand ils (passer) leur baccalauréat, ils iront à l'Université. — Quand ils (apprendre) à lire, à écrire, ils changèrent de classe. — Quand ils (recevoir) l'enseignement du premier degré, ils entrèrent au lycée. — Quand ils (passer) leur baccalauréat, ils s'inscrivirent à l'Université.
VII) Поставьте глаголы: prendre, cueillir, ouvrir в З лицо ед. и мн. числа Passé antérieur passif.
VIII) Поставьте глаголы в скобках в пассивную форму: Aussitôt qu'ils (prendre), les poissons perdirent leurs jolies couleurs. — Quand elles (cueillir), les rosés furent moins belles. — Dès que la porte (ouvrir), il y avait un violent courant d'air (répétition). — Dès que la porte (ouvrir), il y eut un violent courant d'air.
ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 12 — 17
L'ARRIVÉE DES CIGOGNES
A deux heures entra1 M. le professeur Speck, avec ses larges souliers carrés au bout de ses grandes jambes maigres [et sa longue redingote marron (...)• Il se découvrit2 d'un air solennel, et dit:
«J'ai l'honneur d'annoncer à la compagnie, que les cigognes sont arrivées».
Aussitôt les échos3 de la brasserie répétèrent dans tous les coins: «Les cigognes sont arrivées! les cigognes sont arrivées!»
Il se fit un grand tumulte; chacun quittait sa chope4 à moitié vide, pour aller voir les cigognes. En moins d'une minute, il y avait plus de cent personnes, le nez en l'air, devant [l'hôtel] du Grand-Cerf.
Tout au haut de l'église une cigogne, debout sur [sa patte], faisait l'admiration de toute la ville. Le mâle tourbillonnait autour et cherchait à se poser sur la roue5 où pendaient encore quelques brins de paille.
Le [rabbin] David venait aussi d'arriver: et, regardant, son vieux chapeau penché sur la nuque, il s'écriait:
«Elles arrivent de Jérusalem!... Elles se sont reposées sur les pyramides d'Egypte!... Elles ont traversé les mers!»
Tout le long de la rue, devant la halle, on ne voyait que des commères, de vieux papas et des enfants, le cou replié, dans une sorte d'extase. Quelques vieilles disaient en s'essuyant les yeux: «Nous les avons encore revues une fois».(...)
Les deux oiseaux, comme pour répondre à ce salut, tout en planant, faisaient claquer leur bec, et une troupe d'enfants les suivaient dans la rue des Capucins, criant: «Tra ri, ro, l'été vient encore une fois! You,
y ou, l'été vient encore une fois».
ERCKMANN-CHATRIAN, L'Ami Fritz.
Примечания:
1. Inversion du sujet, après certains compléments circonstanciels.
2. Снял шляпу. Couvrez-vous = Mettez votre chapeau.
3. Le son des paroles semble renvoyé par les murs de la brasserie, comme par l'écho.
4. Кружку с пивом.
5. Колесо, установленное, например, на трубе, на котором аисты строят гнездо.
RENARD ET CHANTECLER
II y a bien longtemps, vivait dans son terrier de Maupertuis, un renard connu à dix lieues à la ronde pour sa prudence, ses ruses et les mauvais tours qu'il jouait à ses amis, aussi bien qu'à ses ennemis.
Museau fin, yeux mobiles, pattes à ressorts d'acier, beau pelage roux, longue queue en panache: voilà maître Renard.
Renard avait une femme, dame Hermeline, et deux enfants, deux jolis renardeaux, Malebranche et Percehaie.
Un jour Renard, Hermeline, Malebranche et Percehaie regardaient tristement le buffet où ne se voyait aucune provision, et le plafond où ne pendait aucun jambon. Après un long silence plein de découragement, Renard dit enfin, à bout de ressources:1 «Je vais encore essayer de voler quelque poulet. Advienne que pourra!»2 Et il sortit.
En rampant, il se dirigea vers un poulailler situé non loin de là et qui appartenait à un paysan aisé. Il aperçut le coq Chantecler, perché sur un tonneau, et lui dit: «Vous ne vous souvenez donc plus que votre père et le mien étaient frères et s'aimaient tendrement? Vous soupirez. Ah! oui, ce fut une grande perte pour nous tous, que la mort de Chanteclin, mon cher oncle, et nous en eûmes grand deuil, ma femme et moi. Lorsqu'il fermait les yeux, il chantait d'une manière qui jamais ne se reverra».
Là-dessus, Chantecler, piqué de l'éloge donné à un autre, lança un cocorico retentissant.
«Eh bien, qu'en dites-vous, cousin Renard? —- Je ne voudrais pas vous froisser, mais cela ne peut se comparer. Quand Chanteclin chantait, son cri portait à deux lieues au moins. Tous les autres coqs s'arrêtaient de chanter, et l'admiraient et le jalousaient. Non! vraiment, cousin, vous êtes loin de l'égaler. Cela vous serait si facile, cependant.
— Vous croyez qu'il fermait les yeux?
— J'en suis sûr. D'ailleurs, voyons, pourquoi mentirais-je?
— Attendez, attendez, cria Chantecler, vaincu par l'orgueil. Je vais essayer et vous jugerez».
Il ferma les yeux, ouvrant un large bec: Renard, qui bouillait d'impatience et se retenait à grand-peine, attrapa par l'aile le pauvre chanteur et l'emporta en courant.
Aussitôt, valets, servantes, tous armés de pelles, de pioches, se lancèrent à la poursuite du voleur. Mais bien malin qui attrapera jamais4 Renard à la course.
Le pauvre Chantecler, tout meurtri, se plaignait en son langage, par mots entrecoupés: «Ah! méchant traître! qui peut avoir confiance en ta langue dorée?»
A ce moment, plus que jamais, on entendait les cris des pour- suivants:
«A mort, à mort!»
«Eh bien, dit Chantecler à Renard, crie quelque chose à ces gens-là. Ils sont cruels envers les miens5 et je voudrais me venger d'eux. Tiens, par exemple, dis-leur: «Pendant que vous me poursuivez, mon ami le loup mange vos provisions. A une prochaine fois, bonnes gens!»6
Renard trouvait toujours un malin plaisir à se moquer de ses ennemis. Oubliant toute prudence, content de jouer un bon tour, il ouvrit sa gueule toute grande et cria ce que lui soufflait Chantecler.
Aussitôt le coq s'échappa et alla se poser sur une branche, hors de portée de Renard.
Et pendant que Renard rentrait tristement à Maupertuis, Chantecler faisait un retour triomphal au poulailler.
Le roman de Renard.
Примечания:
1. Ne trouvant plus aucun moyen de se procurer de la nourriture. — Quand on a dépensé tout son argent, on est à bout de ressources.—Quand on a couru trop longtemps, on est à bout de souffle.
2. Будь, что будет! «Qu'il arrive (subjonctif) ce qui pourra arriver!» vieux dicton.
3. Emploi intransitif de porter = atteindre. Ce fusi! de chasse porte à trois cents mètres; mais le gibier est très loin, il est hors de portée.
4. Но Лис был слишком хитер, чтобы его кто-нибудь мог догнать.
5. К моей семье, к моим сородичам.
6. On dit: de bonnes gens, de méchantes gens, mais des gens méchants. (On ne dit pas: des gens bons!)
RENARD ET LES PÊCHEURS D'ANGUILLES
C'était au temps de l'hiver: Renard était dans son logis, fort pauvre de provisions. Il sortit pour chercher fortune et il s'assit le long d'une route près d'une haie, tendant le cou de tous côtés, espérant quelque aubaine. Il fut très joyeux de voir s'avancer une charrette1 conduite par deux marchands qui venaient de la mer et rapportaient des poissons. La
bise avait soufflé toute la semaine, et ils avaient leurs paniers remplis de harengs frais et d'autres poissons de mer grands et petits, et aussi d'anguilles2 qu'ils avaient achetées en passant par les villages.
Renard les voyant, s'éloigna par des chemins détournés, et, loin devant eux, se coucha au milieu de la route, après s'être bien roulé dans la terre fraîche d'une prairie. Il s'était donné l'air3 d'un mort, les yeux clos, les dents serrées, retenant son haleine.
Le premier des marchands qui le remarqua dit à son compagnon:
«Voilà un chien ou un renard!
— C'est un renard, cria l'autre; descends vite: prends-le; gare qu'il ne t'échappe!»
Tous deux s'élancent et arrivent à Renard, qui, étendu sur le dos, ne bouge pas. ils le retournent de tous côtés. «Il vaut bien trois sous, dit l'un.— Bah! dit l'autre, il en vaut au moins quatre: vois comme la gorge est belle et blanche. Mettons-le sur notre charrette».
Et ils continuent leur route en se réjouissant de la trouvaille: «Ce soir, à la maison, disaient-ils, nous l'écorcherons».
Ainsi parlaient-ils; mais Renard ne faisait qu'en rire. On l'avait jeté sur le ventre, par-dessus les paniers. Tout doucement il en tira bien ' trente harengs, qu'il mangea de grand appétit, sans demander sel ni sauce. Puis il fourra son museau dans le panier d'à côté, et en tira trois colliers4 d'anguilles. Il y passa sa tête et son cou et les fît glisser sur son dos. Il s'agenouilla pour bien choisir son moment, s'avança un peu, et enfin se lança au milieu de la route, portant son butin à son cou. Une fois en bas, il cria aux marchands: «Dieu vous garde5! J'emporte un peu d'anguilles, et je vous laisse le reste».
Les marchands furent bien ébahis: «Le renard!» s'écrièrent-ils. Ils regardèrent derrière eux: il était trop tard! Ils descendirent pour l'attraper, mais Renard ne les avait pas attendus et il eut le temps de s'enfuir au loin.
Le roman de Renard.
Примечания
1. Тележка, двуколка La charrette est une petite voiture a deux roues, comme la carriole; le chariot a quatre roues. '
2. Угрей.
3. Притворился мертвым.
4. Les anguilles, dont la tKte est enfiltie dans une corde, forment un collier.
5. Ici le verbe est au subjonctif; c'est un souhait.
PAGE D'ÉCRITURE
Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Répétez! dit le maître. Deux et deux quatre quatre et quatre huit huit et huit font seize. Mais voilà l'oiseau-lyre1 qui passe dans le ciel l'enfant le voit l'enfant l'entend l'enfant l'appelle:
auve-moi
joue2 avec moi oiseau!
Alors, l'oiseau descend
et joue avec l'enfant
Deux et deux quatre...
Répétez! dit le maître
et l'enfant joue
'oiseau joue avec lui...
Quatre et quatre huit
huit et huit font seize
et seize et seize qu'est-ce
qu'ils font?
Ils ne font rien seize et seize
et surtout pas trente-deux
de toute façon
et ils s'en vont.
Et l'enfant a caché l'oiseau
dans son pupitre
et tous les enfants
entendent sa chanson
et tous les enfants
entendent la musique
et huit et huit à leur tour s'en vont
et quatre et quatre et deux et deux
à leur tour fichent le camp3
t un et un ne font ni une ni deux4
un et un s'en vont également.
t l'oiseau-lyre joue
et l'enfant chante
et le professeur crie:
Quand vous aurez fini de faire le pitres!
ais tous les autres enfants
écoutent la musique
et les murs de la classe
s'écroulent tranquillement.
et les vitres redeviennent sable
l'encre redevient eau
les pupitres redeviennent arbres
la craie redevient falaise
le porte-plume redevient oiseau6.
J. PRÉVERT, Paroles. (Gallimard.)
VICTOR HUGO À L'ÉCOLE
[Les petits Hugo] n'avaient pas, surtout Victor, l'âge du collège; [leur mère les envoya d'abord à une école de la rue Saint-Jacques où un brave homme1 et une brave femme enseignaient aux fils d'ouvriers la lecture, l'écriture et un peu d'arithmétique. Le père et la mère Larivière, comme les appelaient les écoliers, méritaient cette appellation par la paternité et la maternité de leur enseignement. Ça se passait en famille2. La femme ne se gênait pas, la classe commencée3, pour apporter à son mari une tasse de café au lait, pour lui prendre des mains le devoir qu'il était en train de dicter, et pour dicter à sa place pendant qu'il déjeunait.
Quand on voulut apprendre à lire à Victor, il se trouva4 qu'il le savait. Il avait appris5 tout seul, rien qu'à regarder6 les lettres. L'écriture alla vite, l'orthographe aussi, et la «mère Larivière» s'est vantée souvent d'un Évangile qu'elle lui avait dicté dans le premier semestre et où il n'avait fait qu'une seule faute, bœuf avec un e7 .
VICTOR HUGO, raconté par un témoin de sa vie. Примечания:
1. Attention à la place de l'adjectif brave. Un brave homme = добрый, славный человек; un homme brave = храбрый, энергичный человек.
2. Как между членами одной семьи.
3. Quand la classe était commencée.
4. On constata.
5. Attention aux deux sens du verbe apprendre: Le maître apprend à lire = il enseigne la lecture. — L'élève apprend à lire = il reçoit l'enseignement du maître.
6. Seulement en regardant.
7. Un e au lieu de œ.
Примечания:
1. Птица-лира.
2. Jouer (1-er groupe). L'enfant aime le jeu: il est joueur.
3. Сбежать, спастись, смыться (просторечн.).
4. «Une! deux! Une! deux» dit l'officier qui fait marcher ses soldats au pas. — «Une! deux! trois!» comptent les enfants avant de commencer une course, pour partir tous ensemble au même moment. — «Ne faire ni une ni deux», c'est agir vite, sans prévenir, sans donner de signal.
5. Паясничать, кривляться.
6. Allusion à la plume d'oie, dont on se servait jadis pour écrire.
Écoute ton professeur quiparle, (écoute les professeurs QUI parlent.)
Прямое дополнение
que
Prends le livre queje te donne.
Косвенное дополнение (с предлогом)
à qui par qui avec qui
Voici le professeur à quij'ai parlé. Voilà le professeur par quitu seras interrogé Tu connais le professeur avec quije travaille.
Антецедент
1. Так называется существительное (или местоимение), которое заме- щается относительным местоимением:...le professeur_qui...
2. В пословицах антецедент часто опускается и лишь подразумевается: Qui a bu boira (= L'homme qui a bu...)
3. Нельзя употреблять следующие формы: A QUI, DE QUI, PAR QUI, и т. д. (с предлогом), если антецедентом являются существительные, обо- значающие животных или предметы (см. II).
lequel, laquelle, lesquels, lesquelles} редко м. род, ж. род, м. род, ж. род, употребляются
ед. число ед.число мн.число мн. число
Косвенное дополнение (с предлогом)
{(à) auquel à laquelleАнтецедентом auxquels auxquellesявляется {(de) duquel de laquelleодушевленный desquels desquellesили {(parи par lequel par laquelleнеодушевлен- par lesquels par lesquellesный предмет
Например: Voici le professeur auquel (или à qui) j'ai parlé.Voici l'itinéraire auquel je pense.
LA BOURGOGNE ET LES BOURGUIGNONS
«La Bourgogne, ou le bourgogne?
— Ne confondons pas!1 La Bourgogne, c'est une large vallée dans laquelle, à travers les champs et les prés (m.), coule la Saône2 au cours lent et tranquille; ce sont des coteaux plantés de vignes,que cultivent des paysans robustes, hauts en couleur3, au parler sonore; des sanctuaires réputés, Vézelay, par exemple, où les pèlerins4 accourent chaque année; une terre sur laquelle se mêlent étroitement le goût des choses de l'esprit (m.)5 et l'amour de la vie matérielle; la terre qui vit naître Bossuet, le grand orateur religieux du XVII-e siècle, le poète Lamartine, et tant d'hommes illustres.
— Que de choses et d'hommes à la fois, mon Dieu!
— Hé oui! Cette province est riche et variée comme son vin, le fameux bourgogne (avec un petit b!).
— Comment appelez-vous donc les diverses sortes d'un même vin? Je connais ce mot, je l'ai sur le bout de la langue6.
— Vous voulez dire les différents crus. Il y en a des dizaines7. Et les Bourguignons sont très fiers de leurs vins. Ce sont de fins connaisseurs8, allez9 II faut les voir, dans les ventes annuelles, goûter les vins. Il faut voir l'air sérieux avec lequel ils agitent doucement leur petit gobelet d'argent, le passent longuement sous leur nez pour sentir le parfum, le portent à leurs lèvres et boivent enfin.
— C'est de la gourmandise? —Non; c'est presque (pardonnez-moi!) de la piété!»
Примечания:
1. Ne nous trompons pas! Ces deux expressions n'ont pas le même sens!
2. Prononcer sône.
3. Краснощекие, румяные.
4. Пилигримы, паломники.
5. Устремленность к духовному.
6. Оно у меня вертится на языке.
7. Une dizaine, une douzaine, une quinzaine, une vingtaine, une trentaine, une quarantaine, une cinquantaine, une soixantaine, une centaine, un millier.
8. Знатоки.
9. Interjection très courante dans le langage parlé.
УПРАЖНЕНИЯ
I) Скажите иначе: Ces coteaux sont plantés de vignes.— Ces paysans ont un parler sonore. — Cet homme a le goût des choses de l'esprit. — II y a en Bourgogne des dizaines de crus. — Je ne m'y connais pas en vins.
II) (a) Найдите в тексте относительные местоимения и укажите их антеце- денты.
(б) Укажите придаточные определительные предложения (propositions
relatives).
(в) В придаточных определительных предложениях замените относительные местоимения их антецедентами (с предлогом или без предлога).
(г) Укажите функцию каждого относительного местоимения. Напр.: Voici l'élève à qui je parle:
(a) à qui (= l'élève); (b) à qui je parle; (c) je parle à l'élève; (d) à qui (косвенное дополнение глагола: je parle).
III) (a) Объясните смысл пословиц: Qui a bu boira. — Qui dort dîne. — Qui veut voyager loin ménage sa monture (= son cheval), (б) Есть ли похожие пословицы в вашем языке? Напишите их по-французски.
IV) Заполните пропуски соответствующими формами относительных место- имений (простыми или сложными, с предлогом или без предлога): C'est une région ... me plaît beaucoup. — C'est un pays... je connais bien. — Ce sont des paysans... j'ai souvent rencontrés. — C'est une province dans... j'ai souvent voyagé. — Ce sont des forêts dans... je me promène souvent. — C'est une amie à... je prête quelquefois des livres. — C'est un travail... je m'intéresse. —C'est une étude... je m'intéresse. — Ce sont des études... je m'intéresse. — Ce sont des études... m'intéressent beaucoup.
V) Напишите следующие глаголы: cultiver, planter, mêler, goûter в З лице Passé antérieur actif и Passé antérieur passif.
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