L’interactionnisme symbolique

C’est une approche psychologique d’après lequelle l’interaction est l’origine de toute analyse sociopsychologique. Cette approche est liée avec le nom de George Herbert Mead. Au cours de l’étude de la nature sociale de Moi humain, il a fait une conclusion que l’interaction joue un rôle dominant dans la formation de Moi. La formation de Moi se fait au cours de l’interaction, car ces situations forment la personnalité qui prend concsience de soi-même au cours de l’activité en commun avec les autres. Mead distingue deux côtés de Moi: 1) le côté impulsif créatif de Moi, la réponse directe aux exigences de la situation; 2) la réflexion de Moi, une norme qui contrôle les actions du premier côté, la compréhension par la personnalité des relations qui apparaissent au cours de l’interaction qu’il faut prendre en considération. La réflexion permanente est indispensable pour la perception adéquate de la personnalité et de ses actions par elle-même.

Chaque situation concrète impose son style du comportement. Cette manière de se représenter doit être adéquate à la situation, sinon l’interancion n’est pas efficace. On distingue trois styles des actions: rituel, manipulatif, humaniste. Le style rituel prouve l’importance de prendre en considération la situation. Ce style est imposé par telle ou telle culture (p.ex., le style des salutations). Une personne ayant reçu une réponse inattendu à une question habituelle sera déconfite. Le partage d’un act de l’interaction en états de Moi des participants, en styles des actions permettent d’analyser soigneusement cet aspect de la communication, en la reliant avec le contenu de l’activité.

Les types de l’interaction

Le plus souvent on oppose deux types de l’interaction: la coopération et la concurrence.La coopération ou l’interaction coopérative signifie la coordination des forces des participants (l’ordre de l’application, la combinaison, l’addition des forces). La coopération est un élément indispensable de l’activité collective conditionné par la nature de cette activité. On distingue deux particularités de l’activité collective: a) le partage de la même activité entre les participants; b) le changement de l’activité de chacun. La participation active de tous les participants de l’activité montre le lien étroit existant entre eux.

Si on parle de la concurrence, on analyse le plus souvent le conflit comme sa forme la plus évidente. Les auteurs différents proposent leurs modèles de la structure du conflit, mais ils dégagent tous les mêmes éléments les plus importants. Ce sont la situation de conflit, les positions des adversaires, l’objet, l’incident (le déclencheur), le développement et la résolution du conflit. Ces éléments dépendent du type du conflit qui peut être destructif et productif. Le conflit destructif se décroche plus facilement de son objet et touche les personnalités des adversaires, il provoque des stress. Il se caractérise par la multiplication des adversaires, de leurs actions conflictuelles, des acts négatifs. L’escalade de la tension est l’autre particularité de ce type du conflit, c’est le renforcement de l’attitude négative envers son adversaire. La résolution du conflit de ce type par le compromis est réalisée avec beaucoup d’efforts.

Un conflit productif est le résultat des points de vus différents sur le même problème ou sur les voies de sa résolution. Ce type du conflit se caractérise par la meilleure compréhension du problème, de la motivation de l’advesaire qui a une autre opinion. Le fait d’avouer un autre avis contribue au développement des éléments de la coopération à l’intérieur du conflit et donne la possibilité de trouver la résolution optimale.

La communication comme la perception des gens l’un par l’autre (l’aspect perceptif)

Le terme de la perception sociale a été proposé par Jerome Seymour Bruner en 1947. C’est le processus de la perception des objets sociaux sous lesquels on sous-entend les individus, les groupes sociaux, les grandes communautés sociales.

Si on parle des processus de la perception sociale, il faut dire qu’elle comprend les variations des sujets et des objets. Un individu en tant qu’un sujet peut percevoir un autre individu appartenant au sien groupe, un autre individu appartenant à un autre groupe, son propre groupe, un autre groupe. Si le sujet est tout un groupe, alors il faut encore ajouter aux processus sociaux de la perception sociale la perception par le groupe de ses membres, des membres d’un autre groupe, de son propre groupe, d’un autre groupe.

Quand on parle de la communication il ne faut pas parler de la perception sociale en général, mais de la perception interpersonnelle ou de la perception d’un individu par un autre. La perception d’un autre individu signifie la perception ses caractéristiques extérieures, on les rapporte avec les caractéristiques personnelles de l’individu et à cette base on interprète ses actions.

Les mécanismes de la compréhension au cours de la communication

Un individu participe à la communication comme une personnalité et il est perçu par un autrui comme une personnalité. Les impressions qu’il produit pendant la communication jouent un rôle très important dans la communication.

Les idées concernant un autre individu sont conditionnées par le niveau de sa propre conscience. C’est un lien a double faces: d’une part, les richesse des idées à propos de soi-même conditionne la richesse des idées concernant un autre individu, d’autre part, meiux on coprend une autre personne, mieux on commence à comprendre soi-même. La perception d’une autre personne se fait par les processus suivants: l’appréciation émotive de l’autrui, la tantative de comprendre ses actions, l’élaboration de la stratégie du changement de son comportement, la stratégie de son propre comportement.

La comparaison est un processus réciproque: chaque partenaire se compare à une autre. Voici pourquoi on doit prendre en considération les besoins, les motivations de l’autrui et savoir que le partenaire tient compte des tiens.

Le processus de la perception de soi-même par l’intermédiaire d’une autre personne comprend deux aspects: l’identification et la réflexion.

Le terme l’identification signifie littéralement son identification avec une autre personne, car la voie la plus courte de comprendre un autrui c’est essayer de s’imaginer à sa place. L’indentification est un des mécanisme de la connaissance et de la compréhension de l’autrui.

Il existe un lien étroit entre l’identification et l’empathie. On comprend l’empathie comme l’intention émotionnelle de répondre aux problèmes d’une autre personne. La nature émotionnelle de l’empathie se caractérise par le fait que la personne non seulement comprend, mais ressent la même chose que son partenaire de la communication.

La compréhension mutuelle est liée à la réflexion. Du point de vue de la psychologie de la communication la réflexion est la prise de conscience par l’individu de la représentation que l’autrui a de lui. C’est la connaissance de la vision de l’autrui sur toi dont le contenu est ton monde extérieur.

Дата добавления: 2014-01-07